Certains représentants de partis politiques ont critiqué le manque
de méthodologie d’animation et de planification concernant
l’agenda, lors de la première rencontre tenue le jeudi 26
février, avec les conseillers électoraux, observe
AlterPresse.
de méthodologie d’animation et de planification concernant
l’agenda, lors de la première rencontre tenue le jeudi 26
février, avec les conseillers électoraux, observe
AlterPresse.
Une situation qui a occasionné une atmosphère tendue
entre les différents participants, au point que certains
d’entre eux hurlaient leur mécontentement.
Il a fallu l’intervention de Maitre Néhémie Joseph pour
calmer
l’ardeur des participants, dans une salle bondée deentre les différents participants, au point que certains
d’entre eux hurlaient leur mécontentement.
Il a fallu l’intervention de Maitre Néhémie Joseph pour
calmer
personnalités, dont les divergences idéologiques se
mêlaient avec l’enthousiasme pour les prochaines joutes
électorales.
Très mécontent, l’ex-sénateur Yvon Feuillé, représentant
du parti Fanmi Lavalas, met l’accent sur le fait qu’il y a eu
un manque de préparation pour cette rencontre avec tous
les acteurs dans le cadre du processus électoral.
Le représentant du parti Fanmi Lavalas situe sa
participation dans la logique de discuter avec le Conseil
électoral provisoire (Cep) afin de partager sa vision avec
les autres partis politiques pour voir si le processus
pourrait être crédible.
Il souligne le fait que la préparation d’un registre électoral
fiable prendra au moins de trois mois de travail, dans la
mesure où ce Cep ne veut pas organiser une élection
bâclée.
Lavalas propose qu’il y ait en octobre 2015 les élections
législatives et la présidentielle ainsi que le second tour
auraient lieu en décembre 2015, histoire de ménager le
budget des partis politiques, argue-t-il.
Pour l’ex-député des Gonaïves, Sadrack Dieudonné, le Cep
a déjà proposé et acheminé à l’Exécutif l’avant décret-loi
électoral, sans l’opinion des partis politiques.
Il exige par ailleurs que le Cep reprenne le processus de
désignation des membres des Bureaux électoraux
départementaux (Beds) et des Bureaux électoraux
communaux (Becs) à cause des irrégularités.
« Parce que ce sont les Beds et les Becs qui sont l’épine
dorsale, le fer de lance de la machine électorale. Ce sont
des officiels dans le palais national qui les avaient
proposés. Ils ne peuvent pas organiser des élections avec
des gens qui ne sont pas crédibles. Ils doivent reprendre le
processus, sinon ils ne font que construire un terrain miné
qui conduira vers la contestation et vers l’instabilité
politique » regrette l’ex-député.
Sadrack Dieudonné affirme en outre des réserves par
rapport au calendrier électoral proposé.
Toutefois, l’un des conseillers électoraux, Yolette Mengual,
veut se donner un satisfecit pour la participation des partis
politiques.
Cependant, elle affirme que le Cep reste ouvert aux partis
qui n’étaient pas présents lors de cette première
rencontre.
Par rapport à la vague de contestations qui plane sur les
Beds et des Becs, la conseillère électorale affirme que le
Cep a déjà identifié un total de 11 Becs où il y a eu des
contestations.
En conséquence, « plusieurs délégations de conseillers se
rendront dans les départements où il y aurait des
contestations. Après évaluation, le conseil saura quoi
décider », indique-t-elle.
du parti Fanmi Lavalas, met l’accent sur le fait qu’il y a eu
un manque de préparation pour cette rencontre avec tous
les acteurs dans le cadre du processus électoral.
Le représentant du parti Fanmi Lavalas situe sa
participation dans la logique de discuter avec le Conseil
électoral provisoire (Cep) afin de partager sa vision avec
les autres partis politiques pour voir si le processus
pourrait être crédible.
Il souligne le fait que la préparation d’un registre électoral
fiable prendra au moins de trois mois de travail, dans la
mesure où ce Cep ne veut pas organiser une élection
bâclée.
Lavalas propose qu’il y ait en octobre 2015 les élections
législatives et la présidentielle ainsi que le second tour
auraient lieu en décembre 2015, histoire de ménager le
budget des partis politiques, argue-t-il.
Pour l’ex-député des Gonaïves, Sadrack Dieudonné, le Cep
a déjà proposé et acheminé à l’Exécutif l’avant décret-loi
électoral, sans l’opinion des partis politiques.
Il exige par ailleurs que le Cep reprenne le processus de
désignation des membres des Bureaux électoraux
départementaux (Beds) et des Bureaux électoraux
communaux (Becs) à cause des irrégularités.
« Parce que ce sont les Beds et les Becs qui sont l’épine
dorsale, le fer de lance de la machine électorale. Ce sont
des officiels dans le palais national qui les avaient
proposés. Ils ne peuvent pas organiser des élections avec
des gens qui ne sont pas crédibles. Ils doivent reprendre le
processus, sinon ils ne font que construire un terrain miné
qui conduira vers la contestation et vers l’instabilité
politique » regrette l’ex-député.
Sadrack Dieudonné affirme en outre des réserves par
rapport au calendrier électoral proposé.
Toutefois, l’un des conseillers électoraux, Yolette Mengual,
veut se donner un satisfecit pour la participation des partis
politiques.
Cependant, elle affirme que le Cep reste ouvert aux partis
qui n’étaient pas présents lors de cette première
rencontre.
Par rapport à la vague de contestations qui plane sur les
Beds et des Becs, la conseillère électorale affirme que le
Cep a déjà identifié un total de 11 Becs où il y a eu des
contestations.
En conséquence, « plusieurs délégations de conseillers se
rendront dans les départements où il y aurait des
contestations. Après évaluation, le conseil saura quoi
décider », indique-t-elle.
Source : alterpresse.org
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